QGIS s’impose aujourd’hui comme l’outil de référence en géomatique. Si ses performances ne sont plus à prouver, la question de la sécurité des données devient centrale. Les collectivités doivent en effet se conformer aux directives européennes sur la cybersécurité (NIS 2, CRA) et aux règles propres à la gestion de données sensibles. La sécurité concerne donc aussi bien les géomaticiens que les utilisateurs finaux.

 

IDéO BFC a invité Oslandia, société spécialisée en SIG open source, à partager son expertise en sécurité logicielle et ses travaux autour de QGIS.